Cela fait plus de 30 ans que Huang Yong Ping s'est affirmé à travers diverses expositions dans le monde. Son travail reste incontesté et d'une vérité froide sur le destin de notre société et de notre civilisation. Ce livre reprend le travail de l'artiste coréen, et plus particulièrement quatre œuvres: Arche 2009, Caverne 2009, L'ombre blanche et Ancre pour la galerie Kamel Mennour, et pour l'école des Beaux arts de Paris. Dans « Myths », les auteurs conjuguent ses quatre œuvres par une introduction sur le processus de leur création, souligné par une interview de l'artiste, ainsi que, par des photocopies des croquis, mais aussi par un ensemble important de reproductions photographiques des travaux pendant et après leurs installations dans les locaux. Dans cette analyse assez saisissante de son travail, on a accès en plus à la fin de l'ouvrage, aux photographies de ses travaux de 1986 jusqu'à 2009 permettant une synthèse ainsi qu'une réflexion plus poussée sur son univers, et sur ses préoccupations artistiques. Dans sa globalité, cet ouvrage représente d'une très belle manière ses œuvres, et c'est avec un intérêt tout particulier que l'on découvre ses représentations qui dépeignent d'une manière à la fois terriblement cruelle et poétique, les problèmes de notre civilisation moderne.
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Cela fait plus de 30 ans que Huang Yong Ping s'est affirmé à travers diverses expositions dans le monde. Son travail reste incontesté et d'une vérité froide sur le destin de notre société et de notre civilisation. Ce livre reprend le travail de l'artiste coréen, et plus particulièrement quatre œuvres: Arche 2009, Caverne 2009, L'ombre blanche et Ancre pour la galerie Kamel Mennour, et pour l'école des Beaux arts de Paris. Dans « Myths », les auteurs conjuguent ses quatre œuvres par une introduction sur le processus de leur création, souligné par une interview de l'artiste, ainsi que, par des photocopies des croquis, mais aussi par un ensemble important de reproductions photographiques des travaux pendant et après leurs installations dans les locaux. Dans cette analyse assez saisissante de son travail, on a accès en plus à la fin de l'ouvrage, aux photographies de ses travaux de 1986 jusqu'à 2009 permettant une synthèse ainsi qu'une réflexion plus poussée sur son univers, et sur ses préoccupations artistiques. Dans sa globalité, cet ouvrage représente d'une très belle manière ses œuvres, et c'est avec un intérêt tout particulier que l'on découvre ses représentations qui dépeignent d'une manière à la fois terriblement cruelle et poétique, les problèmes de notre civilisation moderne.
Maxime Verdier (1e année)
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