L’ouvrage "Anonymes, l’Amérique sans nom : photographie et cinéma", qui fait écho aux artistes photographes et vidéastes de l’Amérique d’hier et d’aujourd’hui accompagne l’exposition éponyme qui s'est tenue du 18 septembre au 19 décembre 2010 au Bal, nouveau lieu d’exposition situé à Paris. Il constitue une trace du travail de ces artistes "dans la rue" des années trente à aujourd’hui. Parmi eux Walker Evans et sa série de portraits des usagers, passagers, "emprunteurs" de métro, Anthony Hernandez et son regard original sur le monde urbain -l’arrêt de bus est son sujet de prédilection-, ou encore Chauncey Hare et ses photographies témoignant de la précarité des travailleurs.
Ce catalogue est le reflet de l’exposition qu’il accompagne. Il abonde en illustrations, explications détaillées de la démarche artistique de chacun. Il permet une lecture sociale de ces photographies. Les textes mettent l'accent sur la démarche artistique, et donc du rapport à la rue de ces photographes ,davantage que sur leur place dans l'histoire de l'art, ou que sur l'aspect purement technique, plastique, de leur travail.
Les bus passent, les travailleurs besognent. Belle illustration de la société américaine, et plus largement du monde occidental.
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L’ouvrage "Anonymes, l’Amérique sans nom : photographie et cinéma", qui fait écho aux artistes photographes et vidéastes de l’Amérique d’hier et d’aujourd’hui accompagne l’exposition éponyme qui s'est tenue du 18 septembre au 19 décembre 2010 au Bal, nouveau lieu d’exposition situé à Paris. Il constitue une trace du travail de ces artistes "dans la rue" des années trente à aujourd’hui.
Parmi eux Walker Evans et sa série de portraits des usagers, passagers, "emprunteurs" de métro, Anthony Hernandez et son regard original sur le monde urbain -l’arrêt de bus est son sujet de prédilection-, ou encore Chauncey Hare et ses photographies témoignant de la précarité des travailleurs.
Ce catalogue est le reflet de l’exposition qu’il accompagne. Il abonde en illustrations, explications détaillées de la démarche artistique de chacun. Il permet une lecture sociale de ces photographies. Les textes mettent l'accent sur la démarche artistique, et donc du rapport à la rue de ces photographes ,davantage que sur leur place dans l'histoire de l'art, ou que sur l'aspect purement technique, plastique, de leur travail.
Les bus passent, les travailleurs besognent. Belle illustration de la société américaine, et plus largement du monde occidental.
Myriam Chaïeb (1e année)
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